C’est bien cela, le dilemme: soit récupérer une partie (sans doute) du capital et continuer de toucher des intérêts ou risquer de quasi tout perdre!
De toute façon, les torts sont évidemment partagés: la tricherie du début avec l’aide de Goldman Sachs, pour cacher les turpitudes du pouvoir précédent, puis l’attaque du même et de ses clients sur la Grèce et enfin une solution européenne lente à se mettre en place et plus paralysante que dynamisante pour l’économie du pays, rendant impossible la diminution de la dette.
Si le conseil européen s’était montré plus audacieux dès le début, avec un contrôle plus intrusif sur l’utilisation des fonds, les résultats auraient sans doute été bien différents.